Après que l'European Times français a rapporté le 11 décembre que le rapport brun du ministre français de l'Éducation sur le maintien de l'ordre scolaire et la garantie des services nationaux de santé, les élèves des écoles primaires et secondaires seront interdits de transporter leur téléphone portable à l'école au cours de l'année scolaire 2018. Il a déclaré: "Nous nous concentrons sur le problème et pouvons prendre différentes formes au niveau de la mise en œuvre." Les utilisateurs peuvent avoir une éducation et des besoins urgents, mais en principe, le téléphone doit être restreint. Il a ajouté que plusieurs collèges avaient mis en œuvre avec succès l'interdiction. Des mesures spécifiques sont toujours en attente, mais il a déclaré que des brouilleur de téléphone portables pouvaient être utilisés.
Brown a souligné qu'en plus du cadre des règles et règlements scolaires, l'interdiction de téléphoner est également un «message de santé publique pour les familles» et pour les enfants. Il a averti les parents de ne pas laisser leurs enfants se toucher pendant longtemps, surtout avant l'âge de sept ans. Telle était la promesse de la campagne présidentielle de Macron. Selon une enquête Credoc 2015, 80% des adolescents en France sont équipés de smartphones, contre 20% en 2011. La situation globale est que depuis la quatrième année du primaire, de nombreux élèves ont un téléphone portable, car les enfants peuvent apprendre de leur téléphones portables. Les parents et les parents de cet âge pensent pouvoir utiliser leur téléphone à tout moment. Dans le même temps, l'impact du bloqueur des téléphones portables sur l'apprentissage, la réflexion et l'analyse des jeunes et même sur les obstacles est également une préoccupation de la communauté éducative.
Les adolescents de l'étude ont passé des tests standardisés pour voir s'ils étaient dépendants d'Internet et des smartphones. Les participants souffrant de dépendance aux smartphones ont admis que l'utilisation d'Internet et des smartphones affecte leurs compétences quotidiennes, sociales, de sommeil et d'apprentissage professionnel. Ces adolescents ont également obtenu des scores significativement plus élevés pour la dépression, l'anxiété, l'insomnie et l'impulsivité (les résultats n'ont pas montré de dépendance à Internet). La bonne nouvelle est que l'utilisation de brouilleur peut très bien aider ce groupe de personnes. Laurent Carrilla, porte-parole de l'Association des médecins spécialistes des troubles de la toxicomanie, a déclaré: «Les smartphones sont comme des poupées virtuelles ou des amoureux, donc ça fait mal. Nous avons abandonné. Cela ressemble à un toxicomane, et la peur de se déconnecter du téléphone est une émotion très réelle. Mais à l'échelle internationale, la «dépendance au téléphone mobile» n'est pas encore reconnue comme une maladie. Au contraire, la dépendance au jeu a été enregistrée comme une maladie mentale.